ROAD 43 8ème Edition

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Commentaires :

SissiHarley dit :

24/1/2013 à 12h 12min

TOI LE MOTARD Il est presque l’heure, sur le parking grossit la bande. Bisous et serrements de mains, Se met en branle un autre genre humain Pour former une irrésistible sarabande. Les chromes sont rutilants Le plein est fait, Car dans un moment les moteurs vont ronfler Pour prendre le départ lentement. Derniers conseils du road-captain, Les motards enfourchent leurs chevaux d’acier, Et dans un même élan d’amitié Ils rouleront par deux ou en file indienne. Du bitume, du soleil Dans le cuir noir de leur blouson, Ils ressentiront la même émotion. Sur leurs bécanes, rien n’est plus pareil. Ils partent à l’aventure, Et qu’importe la route, C’est avant tout la vie qu’ils goûtent Sur leurs fidèles montures. Et à chaque pause, Virevoltent les esprits Chacun racontant son récit, Puis pour la postérité ils posent. Plusieurs kilomètres ils ont roulés Dans une folle ivresse Sur ce ruban noir qu’ils caressent Empreints de joie et de liberté. Et pour que règne une amitié intacte Lorsque le soir venu le run est fini, Autour d’un verre ils sont réunis, Pour tous ensemble résigner le pacte. Sur la route peut-être les avez-vous croisés, Mais n’oubliez pas qu’ils sont fragiles Même s’ils forment une grande famille Et échangent le « V » de l’amitié. Se texte dédié pour tout les passionner De (SissiHarley)

SissiHarley dit :

23/1/2013 à 12h 12min

En Moto J'aime le vent soufflent qui se fracassé face à moi J'aime ces grande randonnée que nous, Partageons avec d'autre passionné ,j'aime Ses courses folle entre motards pas Toujours bien apprécié part d'autre mais aussi Passionné En moto j'aime entendre ce bruit assourdissent De ma machine tout ces risque que nous, Prenons allée toujours plus vite impatiente De conquête sentir l'ivresse des kilomètres , Entendre mon cœur surmonté part mes palpitation Je suis enfin prête à foncé En moto j'aime ces sensations elle sont toujours Plus forte peut importe les dangers je suis Invincible trop forte dans cette échappée toujours Défilant la mort le vent ne cesse frappé le soleil Tape toujours plus chaud mais pour moi qui suis Passionné allée toujours plus vite seul et mon Souhait rouler roulez sans jamais pouvoir m'arrêter (Petit poème écris pour tout les Biker) de (SissiHarley)

SissiHarley dit :

23/1/2013 à 12h 12min

Le Motard En Harley Davidson Il traverse, à vive allure, le village endormi, Accroché au guidon, les mains serrées sur les poignées. Avec sa lourde machine, il s’enivre de vitesse. La belle rutilante brille au soleil levant, jolie maitresse. Il se lance à perdre halène, dans le petit matin blême, Mains gantées et protégé par sa tenue de cuir noir Il ne craint ni le vent ni la pluie, ni les intempéries. La lourde moto, la belle Harley, à ses commandes obéit Le moteur ronronne ou, selon son bon plaisir, rugit. Il vibre avec sa machine qu’il serre entre ses cuisses. Le motard roule vers une destination inconnue, il glisse, Enchainant les virages, dans un balancement élégant. Il écoute, avec plaisir, du moteur le ronronnement. Excité par la vitesse, il s’enivre d’émotion. La puissance des chevaux ajoute à sa passion. Seul, il défit le temps, les distances. Il s’invente, à vive allure, une danse Rythmée par le tempo du moteur surpuissant. L’homme et la machine ne font qu’un, goûtant l’instant. Ils vibrent tous les deux, de connivence, Se rassasient de bonheur et de souffrance, A la limite du possible et de l’insupportable. Ils foncent, à vive allure, sur la route sinueuse, Grimpant, à l’assaut de la montagne dangereuse, Pour vaincre virages et sommets. Le moteur vibre, vombrit, s’énerve, se calme, se cabre. La Harley obéit, soumise aux caprices de son amant Qui la caresse et la maitrise, respectueux de ses humeurs, Heureuse de se donner à lui, à pleine puissance. Au moment de la pose, le motard s’arrête. Il caresse doucement le ventre de sa machine, Ou son dos, courbé comme une échine, La remerciant du bonheur qu’elle lui a donné. Demain il repartira, avec elle, vers d’autres destinées La Harley Davidson rutilante l’emportera dans les nuées Sur l’aile du vent, comme deux amants. Mon Pème écris pour tout les Biker J'avez oublié de donner mon nom (Sissiharley) Je vous l'est écris en deux fois j'espère que ce poème plaira a tous de(SissiHarley )

SissiHarley dit :

23/1/2013 à 12h 12min

Le motard et la Harley Davidson Il traverse, à vive allure, le village endormi, Accroché au guidon, les mains serrées sur les poignées. Avec sa lourde machine, il s’enivre de vitesse. La belle rutilante brille au soleil levant, jolie maitresse. Il se lance à perdre halène, dans le petit matin blême, Mains gantées et protégé par sa tenue de cuir noir Il ne craint ni le vent ni la pluie, ni les intempéries. La lourde moto, la belle Harley, à ses commandes obéit Le moteur ronronne ou, selon son bon plaisir, rugit. Il vibre avec sa machine qu’il serre entre ses cuisses. Le motard roule vers une destination inconnue, il glisse, Enchainant les virages, dans un balancement élégant. Il écoute, avec plaisir, du moteur le ronronnement. Excité par la vitesse, il s’enivre d’émotion. La puissance des chevaux ajoute à sa passion. Seul, il défit le temps, les distances. Il s’invente, à vive allure, une danse Rythmée par le tempo du moteur surpuissant. L’homme et la machine ne font qu’un, goûtant l’instant. Ils vibrent tous les deux, de connivence, Se rassasient de bonheur et de souffrance, A la limite du possible et de l’insupportable. Ils foncent, à vive allure, sur la route sinueuse, Grimpant, à l’assaut de la montagne dangereuse, Pour vaincre virages et sommets. Le moteur vibre, vombrit, s’énerve, se calme, se cabre. La Harley obéit, soumise aux caprices de son amant Qui la caresse et la maitrise, respectueux de ses humeurs, Heureuse de se donner à lui, à pleine puissance. Au moment de la pose, le motard s’arrête. Il caresse doucement le ventre de sa machine, Ou son dos, courbé comme une échine, La remerciant du bonheur qu’elle lui a donné. Demain il repartira, avec elle, vers d’autres destinées La Harley Davidson rutilante l’emportera dans les nuées Sur l’aile du vent, comme deux amants.

doct fiman's dit :

22/6/2012 à 12h 12min

salut 68 h.. bien sympa ton resumé..evidenment c'est toujours bien kool de se retrouver dans des rassemblements entre pot..je n’étais pas de la partie ,mais je fait aussi une sortie dans les corbieres avec des pots de la region de castres qui m'ont rendu visite,afin de leur faire decouvrir ,quelques coins des corbieres.avec un pique nique au bord de l'eau.. tous ceci reste a sa facon une relation motorisée..a + bonne bourre